Services partagés Canada : Comité permanent de la procédure et des affaires de la Chambre – 10 juin 2022

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Aperçu de la cybersécurité

Réponse suggérée

Si l’on insiste sur le budget de 2022 :

Si l’on insiste sur la responsabilité de SPC vs. celle de la CST:

Éléments de données clés

Historique

Aperçu

Le gouvernement du Canada (GC) travaille continuellement à améliorer la cybersécurité au Canada par la prévention des attaques au moyen de mesures de sécurité robustes, en cernant les cybermenaces et les vulnérabilités informatiques, et en étant prêt à répondre à toutes sortes de cyber incidents afin de mieux protéger le Canada et les Canadiens.

Le GC a amélioré sa capacité d’entreprise afin de détecter, défendre et répondre aux menaces cybernétiques; a centralisé les services de points d’accès à Internet; a lancé un programme d’architecture de sécurité de l’entreprise; a jeté les bases d’un programme de cybersécurité du GC et mis en œuvre un plan d'intervention en cas d'incident pangouvernementale.

Compte tenu de la nature transversale de la cybersécurité, un certain nombre d’autres ministères et organismes fédéraux jouent un rôle dans différents aspects de la cybersécurité, y compris : le SCT, le CST, la Sécurité publique Canada (SP), la Gendarmerie royale du Canada (GRC), le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), et la Défense nationale.

Les ministères et organismes du GC jouent un rôle essentiel dans l’établissement de la gouvernance pour assurer la gestion intégrée des services de l’information, des données, de la sécurité et de la cybersécurité, au sein de leurs ministères.

Rôles et responsabilités

Les ministères et organismes fédéraux ont la responsabilité de veiller à la cybersécurité au sein de leur organisation.

Le SCT, SPC et le CST sont les principaux intervenants avec la responsabilité de veiller à ce que la cybersécurité du gouvernement est efficace et est en mesure de répondre à l’évolution des menaces.

Le SCT fournit une surveillance stratégique de gestion d’événements de cybersécurité pour assurer une coordination efficace des grands événements de sécurité et pour soutenir la prise de décisions du GC. Le Plan de gestion des événements de cybersécurité du GC fournit un cadre opérationnel qui décrit les intervenants et les mesures nécessaires pour s’assurer que les activités de cybersécurité soient traitées de façon uniforme, coordonnées et en temps opportun dans l’ensemble du gouvernement. Le dirigeant principal de l’information pour le GC, au SCT, établit la politique de sécurité de la technologie de l’information ainsi que d’autres pouvoirs délégués.

SPC fournit l’infrastructure de sécurité de la TI (dotation, conception, déploiement et fonctionnement). En collaboration avec le SCT et le CST, SPC fournit également la sécurité et la protection des renseignements personnels dans le cadre de l’établissement de nouveaux services.

Bien que la plupart des systèmes de sécurité servant à protéger le gouvernement sont conçus et gérés par SPC, le Centre canadien de cybersécurité (CCCS) utilise aussi un éventail de solutions complémentaires qui lui sont propres pour complémenter systèmes de sécurité gérés par SPC (par exemple, capteur, basés sur un hôte pour la surveillance et la protection des paramètres du GC).

Le CST abrite le CCCS, qui surveille les systèmes et réseaux du gouvernement pour les activités malveillantes et des cyberattaques, et dirige l’intervention opérationnelle du gouvernement en matière de cybersécurité. Le CCCS protège et défend les atouts cybernétiques précieux du pays et travaille côte à côte avec les secteurs privé et public, y compris les infrastructures essentielles du Canada, pour résoudre les problèmes de cybersécurité les plus complexes.

Sécurité publique Canada dirige la stratégie et la politique de cybersécurité nationale en, par exemple : coordonnant la réponse à d’importantes activités de cybersécurité nationale par le Centre des opérations du gouvernement, en étroite collaboration avec le SCT; et travaillant avec les gouvernements canadiens et internationaux, des associations, des universités et l’industrie pour continuellement faire avancer la cybersécurité à l’échelle nationale et internationale. Sécurité publique Canada est également responsable de l'élaboration d'une nouvelle politique concernant la façon dont le GC soutient les entités non gouvernementales ; l'ébauche de politique s'appelle actuellement Politique de coordination du gouvernement du Canada pour les incidents et événements de cybersécurité touchant les systèmes électroniques non-gouvernementaux du Canada. Le rôle de SPC en vertu de cette politique devra être défini.

La GRC est le principal ministère d’enquête pour tous les incidents de cybersécurité portant sur la cybercriminalité réelle ou soupçonnée sur l’infrastructure du GC d’origine non étatiques. Ils dirigent également l’enquête criminelle suite aux cas présumés d’incidents cybernétiques nationaux, et aident les partenaires nationaux et internationaux avec des conseils et des directives pour répondre aux menaces de cybercriminalité.

Le SCRS est le principal ministère chargé de faire enquête sur des menaces contre les infrastructures essentielles et de systèmes d’information posés par les acteurs de l’État étranger et les terroristes.

Le ministère de la Défense nationale / Forces armées canadiennes est le principal ministère responsable pour répondre aux menaces cybernétiques, vulnérabilités ou les incidents de sécurité contre ou sur des systèmes militaires.

Chaque ministère a des responsabilités en vertu de la politique sur les services du SCT et numérique pour des aspects précis de la cybersécurité, comme :

Retour au travail

Messages clés

Éléments de données clés

Contexte

Les technologies de vidéoconférence utilisent beaucoup de bande passante. Par conséquent, le maintien de la même expérience utilisateur que celle d’un utilisateur à domicile n’est pas pris en charge à l’intérieur des immeubles du gouvernement du Canada (GC) en raison des limites de l’infrastructure.

Il y a plus de 3 500 bâtiments connectés au réseau du GC. Par conséquent, SPC établit la priorité, avec les ministères partenaires, des sites les plus critiques qui ont besoin d’outils de communication et de collaboration numériques pour soutenir les Canadiens et les opérations gouvernementales. Cela permettra au GC d’accroître son efficacité à fournir ces outils aux employés et aux lieux de travail qui continueront à tirer parti de ces outils modernes à l’avenir.

Les améliorations apportées à l’ensemble du réseau du GC assurera une transition de retour au lieu de travail puisque les nouveaux outils qui ont été mises en œuvre au cours de la pandémie (principalement MS teams) exigent une plus grande largeur de bande et de mises à niveau de l’infrastructure (dans le cadre du budget 2021) afin d’assurer une bonne expérience pour l’utilisateur dans les immeubles du GC.

Le travail nécessaire à l’amélioration de l’expérience utilisateur pour une main-d’œuvre hybride repose sur SPC et ses partenaires pour ce qui est d’assurer l’efficacité informatique par le biais de tests et d’analyses proactifs des opérations, des appareils et des outils. SPC continue de travailler avec ses partenaires pour s’assurer que leurs exigences opérationnelles sont prises en compte.

Impartition de services de technologie d’information par le gouvernement

Messages clés

Principaux points de données

N'est pas applicable.

Contexte

Le 17 janvier 2022, un rapport a été publié dans le Globe and Mail, indiquant que les dépenses du gouvernement fédéral pour les contrats en impartition au cours de l'exercice 2020 à 2021 ont augmenté de 40 % par rapport à l'exercice 2015 à 2016. Cette information provient des Comptes publics du Canada, déposés à la Chambre des communes le 14 décembre 2021.

Bien que ces récents rapports médiatiques ne mentionnent pas Services partagés Canada (SPC), des ministères, notamment SPC, ont été critiqués par le passé en ce qui concerne l'impartition des services de TI.

Exemples de contrats de services de technologie d’information

En 2019, Services partagés Canada (SPC), en consultation avec le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada et le Centre de la sécurité des télécommunications Canada (CSTC), a conclu l'Accord d'entreprise Microsoft pour le gouvernement du Canada comme base afin de remplacer un contrat pluriannuel pour un service de courriel entièrement géré par le fournisseur. Cela a permis la transition vers un service de courriel géré par le GC et hébergé sur des composantes infonuagiques, ce qui a permis au GC de mettre fin au service géré par le fournisseur en décembre 2021.

De plus, l'Accord Microsoft Enterprise a fourni un ensemble d'outils de collaboration numérique, incluant Microsoft (MS) Teams, approvisionné par un fournisseur de services infonuagiques (Software-as-a-Service), qui a été fondamental pour permettre au GC de réagir rapidement en se tournant vers un effectif mobile tout au long de la pandémie et de continuer à offrir des programmes et des services aux Canadiens.

L’initiative ressources humaines et paye de la prochaine génération (ProGen RH et paye) est un exemple de cas où le GC a stratégiquement choisi l’approvisionnement extérieur, ou impartition. Cette initiative fait partie de l'effort de modernisation du gouvernement, dans le cadre duquel les anciens systèmes de TI sont remplacés par des solutions numériques modernes. Pour la solution ProGen RH et paye, le GC a choisi d'explorer un modèle Software as a Service (SaaS), qui est configuré pour l'environnement du GC, mais n’est pas personnalisé par des changements fondamentaux au logiciel. Les outils SaaS sont fournis avec une configuration standard alignée sur les pratiques exemplaires internationales (y compris pour la gestion des ressources humaines (RH) et de la paye).

Par conséquent, en optant pour une solution SaaS disponible dans le commerce, le GC teste une solution de pointe à l'échelle mondiale, sans avoir à la personnaliser en profondeur. Dans le cas de ProGen RH et paye, le choix de l'impartition signifie que le GC a accès à un produit éprouvé jouissant d'une solide réputation internationale, qui alignera notre approche des RH et de la paye sur les pratiques exemplaires mondiales. Cela signifie également que le logiciel est rigoureusement testé et que les utilisateurs ont accès à un soutien exhaustif.

Réponse au Rapport de la Comité des parlementaires sur la sécurité nationale

Messages clés

En cas de pression sur les petits départements et agences :

Si on le presse sur le rôle du SPC en matière de cybersécurité :

Principaux points de données

N'est pas applicable.

Contexte

Le Secréterait du Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et le renseignement (CPSNR) a été créé en vertu de la Loi sur le Comité des parlementaires pour la sécurité nationale et le renseignement, qui a reçu la sanction royale en juin 2017. Il ne s'agit pas d'un comité parlementaire, mais plutôt d'un comité de parlementaires, composé à la fois de députés et de sénateurs. Tous les membres détiennent une habilitation de sécurité de niveau top secret et sont tenus au secret de façon permanente en vertu de la Loi sur la sécurité de l'information.

En juillet 2020, l'honorable David McGuinty, président du CPSNR, a écrit au président du Secrétariat du Conseil du Trésor pour l'informer que le comité examinera le cadre et les activités du gouvernement du Canada pour défendre ses systèmes et réseaux contre les cyberattaques.

Le CPSNR a terminé son examen des activités du gouvernement du Canada visant à défendre ses systèmes et réseaux contre les cyberattaques. Cela comprenait l'examen des éléments suivants :

Dans le rapport, déposé à la Chambre des communes le 14 février 2021, la recommandation 2 de l'annexe A préconisait l'utilisation des services Internet d'entreprise gérés par la SPC par tous les petits ministères et organismes (PMO), et se lisait comme suit :

« Dans la mesure du possible, le gouvernement étendra à toutes les organisations fédérales les services de cyberdéfense avancés, notamment le service internet pour entreprises de Services partagés Canada et les capteurs de cyberdéfense du Centre de la sécurité des télécommunications. »

Cinq PMO ont été choisis pour participer à des projets pilotes visant à améliorer la protection et la visibilité de la sécurité. Le Bureau du dirigeant principal de l'information du Secrétariat du Conseil du Trésor a continué d'étudier les mesures nécessaires pour appliquer ces mêmes politiques et directives en matière de cybersécurité et de sécurité des TI à toutes les entités fédérales, qui ne relèvent pas actuellement du Secrétariat du Conseil du Trésor.

Le SCT, le SPC et le CST continuent de travailler pour s'assurer que la cyberdéfense est appliquée de manière égale dans tous les ministères et organismes, dans la mesure du possible, y compris l'alignement entre le champ d'application de la Politique sur la sécurité du gouvernement et la Politique sur le service et le numérique.

Contrat de gestion des services de technologie de l’information

Messages principaux

Si l’on vous questionne sur la sécurité :

Si l’on vous questionne sur la divulgation :

Si l’on vous questionne sur la GSTI :

Si l’on vous questionne sur la sous-traitance :

Contexte

Le 24 janvier 2022, SPC a répondu à une demande de renseignement des médias à propos du processus d’approvisionnement pour un outil de GSTI, qui donnait suite à des informations obtenues par une demande d’accès à l’information. BMC Software Canada inc. avait remporté le contrat pour cet approvisionnement.

Le 14 mars 2022, le Globe and Mail a publié un article sur le contrat qui critiquait le processus de divulgation proactive l’entourant, le fait qu’il a été octroyé à une entreprise américaine, les règles de sécurité pour travailler aux États-Unis et la sous-traitance plus généralement .

SPC investit dans des technologies qui encouragent une approche pangouvernementale (« d’entreprise ») en permettant aux organisations d’adopter peu à peu des systèmes de TI communs. Le contrat de SPC avec BMC reflète cette approche de la transformation des TI : il fournit un seul outil de GSTI moderne à l’ensemble du gouvernement du Canada.

La GSTI consiste, entre autres, à gérer la livraison et les opérations de TI pour les clients d’une organisation. À SPC, la solution de GSTI est configurée pour gérer les demandes de service, les changements et les incidents pour tous les services de SPC. La mise en œuvre de la solution permet à SPC de mieux fournir des services intégrés de qualité à ses ministères partenaires.

Le 4 février 2022, le député Kelly McAuley a mentionné le contrat à la Chambre des communes, s’attardant particulièrement au fait que le travail était exécuté à l’étranger et à la posture de cybersécurité globale du gouvernement.

SPC a effectué une évaluation de sécurité complète de manière exceptionnelle pour permettre aux entrepreneurs d’exécuter du travail non classifié à l’extérieur du Canada jusqu’au 31 mai 2022 alors que des restrictions de voyage liées à la COVID-19 étaient en vigueur pour les voyageurs non essentiels. Les risques de sécurité ont été rigoureusement évalués et des mesures d’atténuation solides ont été mises en place pour protéger les biens et l’information du gouvernement. On a également mis en œuvre des mesures de sécurité pour veiller à ce que les non-Canadiens non autorisés n’aient pas accès à l’information.

Une modification ayant ajouté 20 M$ au contrat a été divulguée proactivement en retard à cause de problèmes techniques, mais elle a depuis été publiée. On a réglé les problèmes techniques en ajoutant des processus manuels pour éviter des situations du genre à l’avenir.

En date du 24 janvier 2022, le contrat initial et toutes les modifications jusqu’à décembre 2021 ont été divulgués proactivement. Toute modification effectuée entre janvier et mars 2022 sera divulguée d’ici le 30 mai 2022 sur le site du gouvernement ouvert, conformément aux lignes directrices sur la divulgation proactive.

Services partagés Canada : Approvisionnement des produits Cisco

Messages clés

Si l'on insiste sur le recours à un fournisseur unique :

Éléments de donnés clés

Historique

Le 15 février 2021, Services partagés Canada a publié le document La voie à suivre pour la modernisation du réseau sur Canada.ca afin de communiquer notre stratégie et de recueillir les commentaires des parties externes. Dans ce document, SPC a déclaré que nous équilibrerions les achats ouverts et concurrentiels afin de normaliser et de simplifier le réseau du gouvernement du Canada, ce qui réduirait le risque associé à l'entretien, à la mise à jour et à la construction de systèmes trop complexes.

Les activités d'approvisionnement entreprises où des produits Cisco ont été acquis sont conformes à cette stratégie. SPC continue de limiter les appels d'offres pour les produits Cisco dans des cas spécifiques, comme l'augmentation de l'empreinte dans les Centres de données d'entreprise (CDE) où une structure de réseau commune est maintenue. Cependant, des achats ouverts et concurrentiels sont également effectués pour de nombreuses catégories de réseaux, y compris les réseaux locaux (LAN) et les réseaux étendus (WAN).

Certains contrats ouverts et concurrentiels sont attribués à des revendeurs qui proposent des solutions Cisco, tandis que d'autres ne le sont pas.

À l'avenir, la Direction générale des services de réseaux et de sécurité (DGSRS) prévoit de mettre en concurrence les besoins des catégories suivantes :

De plus, le SPC a créé le Comité d'examen des exigences en matière d'infrastructure de réseau (NIRRC) afin d'améliorer la supervision de tous les achats dirigés en février 2021. Ce comité examine tous les besoins spécifiques à une marque de plus d'un million de dollars afin de s'assurer qu'ils sont conformes à la norme SPC 3.0, aux priorités ministérielles et à la voie à suivre pour la modernisation du réseau. À compter du 1er avril 2022, le NIRRC a été remplacé par la Commission d'examen de l'infrastructure des technologies de l'information (ITIRB) dont la portée a été élargie et qui comprend un examen technique des besoins de plus de 1 million de dollars pour 2 directions générales, les Services de réseau et de sécurité et les Services de centre de données.

Rapport du Comité permanent des comptes publics sur l’approvisionnement complexe de technologie de l’information

Messages clés

Principaux points de données

Contexte

Le 25 février 2021, les rapports de la vérificatrice générale du Canada (VG) de 2021 ont été déposés à la Chambre des communes.

Une vérification de gestion a été effectuée afin de déterminer si certains ministères fédéraux responsables de l’acquisition de 3 grandes initiatives en matière de TI étaient sur la bonne voie pour favoriser l’atteinte des résultats opérationnels et pour respecter l’engagement du gouvernement à l’égard de l’équité, de l’ouverture et de la transparence en matière d’approvisionnement.

Par la suite, le Comité permanent des comptes publics de la Chambre des communes a étudié le rapport et a appuyé les conclusions de la VG, plus précisément la conclusion selon laquelle, bien que la gestion de l’approvisionnement de TI complexes par le gouvernement du Canada se soit améliorée et que les leçons apprises aient été appliquées, des améliorations supplémentaires sont nécessaires.

Les administrateurs généraux de Services partagés Canada, du Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT), de Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC) et d’Emploi et Développement social Canada ont participé à l’audience du PACP le 27 mai 2021 pour discuter du rapport de la VG.

Le 21 juin 2021, le président a présenté le 24e rapport du PACP, « L’approvisionnement en solutions de technologies de l’information complexes », à la Chambre des communes, en mettant l’accent sur 3 ministères :

Conformément au Règlement 119, le PACP a demandé que le gouvernement du Canada dépose une réponse globale du gouvernement aux 8 recommandations du rapport.

Le Parlement ayant été dissous le 15 août 2021, aucune réponse de ce type n’a été déposée. Lors de la réunion du 3 février 2022, les membres du Comité du PACP ont adopté une motion visant à réadopter le même rapport, à le déposer à la Chambre, ce qui a eu lieu le 8 février 2022, et à demander une fois de plus une réponse complète du gouvernement.

Cette réponse du gouvernement a été déposée à la Chambre des communes le 31 mai 2022.

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